Hier j’écoutais un podcast très intéressant destiné aux « accompagnantes/thérapeutes » et l’animatrice disait qu’elle recevait souvent des messages lui demandant comment elle faisait pour être aussi productive, créative, pour mener tout de front… Et elle a eu cette phrase très juste que j’ai eu envie de vous retranscrire :
« Ne compare ton intérieur avec l’extérieur des autres ».
Naturellement, ce qui est affiché, projeté sur les réseaux sociaux, mais aussi parfois dans la vraie vie, illustre une partie de la réalité mais seulement une partie. La fameuse partie émergée de l’iceberg, celle que l’on montre, qui dépasse, celle que l’autre me donne à voir. Ce qui tient cette partie hors de l’eau par contre est invisible à l’œil nu. J’entends par là les efforts, les difficultés, les échecs, les sacrifices pour arriver à ce résultat, etc…
On le sait aujourd’hui : se comparer aux autres peut être bénéfique quand cela m’inspire, me motive mais la pression que cela génère est plus souvent délétère. Elle me paralyse plus qu’elle ne me booste. Quand c’est le cas (et que je m'en rends compte), l’idéal est de couper avec les réseaux et de tenter de se comparer avec soi : mon moi d’hier ou le moi de mes meilleurs jours ! Par exemple, en course à pied, avec l’application Garmin, on peut défier nos propres courses…
Si cela vous intéresse, je vous conseille cet épisode de "Grand bien vous fasse"
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